• 20 avril 2006

     

     

    Rien, non plus rien ne me soumet à cette rude verticalité héritée de nos scrofuleux ascendants.
    La vie reste une impasse, un cul de basse fosse.
    Un piège doucereux qu’on ne peut décliner.
    Et nous sommes des rats, de frileux et incapables rats.
    Un vertigineux guet-apens dont l’ordre venimeux nous échappe.
    Une immonde vacuité à entamer.

    Une cuillerée pour maman, une pelletée pour papa.

     


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